Nature-ville : l'ordre !
Autre notion que j'ai aimé creuser : cette nature sur-cultivée, sur-ordonnée, barricadée. J'emploie déjà des temps du passé... Je crois qu'avec la livraison du week end à venir, je vais considérer que j'ai produit mon effort sur la ville. ça aura donné ce que ça pourra. ça pourra être complété plus tard mais j'y ai déjà passé beaucoup de temps et je voudrai garder des cartouches pour le thème suivant (difficile !).
Je consacrerai la fin du mois à revisiter mes archives en fnction de tes commentaires et pour compléter les 5 articles bilans que j'aurai alors écrits. Qu'en penses tu ?
Bon, je reviens à ce thème de la nature bien ordonnée.
La nature, pour qui la pratique, ce n'est pas le désordre. Au contraire, il y a une organisation fondée sur des écosystèmes en relation avec un lieu géographique et un climat associé. La nature est ordonnée. Elle l'est aussi en ville. Mais on ne parle plus du même odre. Il me semble qu'est peu accepté l'idée de laisser (ne serait ce que sur un parc de centre ville) la nature mettre son grain de sel dans son agacement au sein des villes. les raisons invoquées sont diverses et parfois recevable : beauté tout au long d'une année, sécurité des "usagers" (quel horrible mot)... Mais je me demande si la raison profonde n'est pas ailleurs, toujours dans cette volonté qu'a l'homme moderne de (re)créer son espace de vie ex-nihilo, avec des références ésthétiques nouvelles et pour la première fois peut être dans l'histoire tenter de ne plus être cet homme des cavernes représentant la nature dans son lieu de vie. J'ai eu le sentiment que cet usage très ordonné de la nature dont je parle faisait des éléments naturels (troncs, pelouse, fleurs) une matière première comme une autre, qui plus est sans doute moins appréciée que d'autres matières premières industrielles car la nature est capricieuse et ne veut ni ne peut pouser partout et au rythme que l'on souhaiterait : une terrasse en bois de dizaine de mètre carré sort bien plus vite de terre qu'une pelouse et qu'à fortiori une rangée d'arbres.
J'ai perçu une nature contrainte et imaginé que certains arbres avaient l'envie tenace de déguerpir ou de tout foutre en l'air un peu comme dans nos contes d'enfants où les arbres se déracinaient pour se ballader ou s'enfuir à l'approche des bucherons.(les deux dernières photos)
OK, j'arrête de bavarder, je passe aux photos.
Nature engrillagée : si il y a un choix à faire, ce serait la première en ce qui me concerne. J'avais déjà servi quelque chose comme la seconde et c'était moyen.
J'aime bien celle là. J'en étais assez fier. Tu as le droit de la descendre quand même !
Nature figée : sculptures (en relisant mon article, je me dis que je pourrais la supprimer celle là et garder que les fleurs. ???), fleurs bien ordonnées en boutique... Tu apprécieras l'effort fait pour s'approcher des gens.
Nature découpée, taillée, formatée ... "Nature au carré" peut être que ça sonne mieux !?
Rebelion :
Bon, tout n'est sans doute pas cohérent dans ce thème et j'aurai encore trop de photos à montrer. je vois tes réactions et on en reparle (ou pas)
Le dernier thème ce soir. C'est celui qui m'a le plus travaillé. Une photo ressortira de cela sans doute pour le mois de mars... tellement je suis passé devant en me disant "un jour tu t'arrêteras... mais dépêche toi les pelleteuses ne te laisseront peut être pas le temps". Suspense...
Merde, je dis des conneries, j'ai deux thèmes à écrire encore. Pfff, c'est long sur l'ordi quand même. Pause, pause, pause.....
Je consacrerai la fin du mois à revisiter mes archives en fnction de tes commentaires et pour compléter les 5 articles bilans que j'aurai alors écrits. Qu'en penses tu ?
Bon, je reviens à ce thème de la nature bien ordonnée.
La nature, pour qui la pratique, ce n'est pas le désordre. Au contraire, il y a une organisation fondée sur des écosystèmes en relation avec un lieu géographique et un climat associé. La nature est ordonnée. Elle l'est aussi en ville. Mais on ne parle plus du même odre. Il me semble qu'est peu accepté l'idée de laisser (ne serait ce que sur un parc de centre ville) la nature mettre son grain de sel dans son agacement au sein des villes. les raisons invoquées sont diverses et parfois recevable : beauté tout au long d'une année, sécurité des "usagers" (quel horrible mot)... Mais je me demande si la raison profonde n'est pas ailleurs, toujours dans cette volonté qu'a l'homme moderne de (re)créer son espace de vie ex-nihilo, avec des références ésthétiques nouvelles et pour la première fois peut être dans l'histoire tenter de ne plus être cet homme des cavernes représentant la nature dans son lieu de vie. J'ai eu le sentiment que cet usage très ordonné de la nature dont je parle faisait des éléments naturels (troncs, pelouse, fleurs) une matière première comme une autre, qui plus est sans doute moins appréciée que d'autres matières premières industrielles car la nature est capricieuse et ne veut ni ne peut pouser partout et au rythme que l'on souhaiterait : une terrasse en bois de dizaine de mètre carré sort bien plus vite de terre qu'une pelouse et qu'à fortiori une rangée d'arbres.
J'ai perçu une nature contrainte et imaginé que certains arbres avaient l'envie tenace de déguerpir ou de tout foutre en l'air un peu comme dans nos contes d'enfants où les arbres se déracinaient pour se ballader ou s'enfuir à l'approche des bucherons.(les deux dernières photos)
OK, j'arrête de bavarder, je passe aux photos.
Nature engrillagée : si il y a un choix à faire, ce serait la première en ce qui me concerne. J'avais déjà servi quelque chose comme la seconde et c'était moyen.
J'aime bien celle là. J'en étais assez fier. Tu as le droit de la descendre quand même !Nature découpée, taillée, formatée ... "Nature au carré" peut être que ça sonne mieux !?
Rebelion :
Bon, tout n'est sans doute pas cohérent dans ce thème et j'aurai encore trop de photos à montrer. je vois tes réactions et on en reparle (ou pas)
Le dernier thème ce soir. C'est celui qui m'a le plus travaillé. Une photo ressortira de cela sans doute pour le mois de mars... tellement je suis passé devant en me disant "un jour tu t'arrêteras... mais dépêche toi les pelleteuses ne te laisseront peut être pas le temps". Suspense...
Merde, je dis des conneries, j'ai deux thèmes à écrire encore. Pfff, c'est long sur l'ordi quand même. Pause, pause, pause.....